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Aurore Prieur Brusque : Le jour où j’ai failli tout arrêter

Par Aude Stheneur
Paru dans Femmes ici et ailleurs #36, mars-avril 2020

DR

À quarante-trois ans, Aurore Prieur Brusque a déjà eu plusieurs vies professionnelles. Après une licence de droit international, elle débute comme commerciale dans une entreprise de matériel informatique en Grande-Bretagne et à Paris. Puis déménage au Pays Basque. “Quand j’avais quatorze ans, je suis partie en vacances à Saint-Jean-de-Luz avec ma mère. Je m’étais promis de m’y installer : j’ai réalisé un rêve d’enfant.” Elle reprend alors un poste de commerciale, cette fois dans l’immobilier, et rencontre le directeur d’une banque basque qui lui propose d’intégrer son entreprise. Elle y restera quatorze ans.

En 2012, Aurore Prieur Brusque sent qu’elle a besoin de changer d’air. “Nous avons fusionné avec des banques espagnoles et les délais pour la mise en place des projets pour nos client·e·s se sont allongés. Il n’y avait plus de challenge. Je savais que je n’allais pas évoluer.” L’ex-commerciale négocie alors un virage à 180° et s’inscrit pour passer un CAP d’esthétique. “Je ne voulais plus être salariée et j’avais envie de me recentrer sur l’humain, le bien-être. Pour lancer une nouvelle activité dans ce domaine, il me fallait un diplôme d’esthétisme.” Elle l’obtient à trente-sept ans et ouvre en 2017 des instituts de beauté – sous le nom de Beautytime – à Biarritz, Anglet et Saint-Jean-de-Luz.

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